Avocats Picovschi – Action individuelle et action sociale contre un dirigeant d’entreprise, RANARISON Tsilavo NEXTHOPE, simple associé peut il agir ? Non

Le cabinet Avocats Picovchi est l’avocat-conseil de RANARISON Tsilavo CEO NEXTHOPE dans l’affaire de diffamation en cours au Tribunal de grande instance de Paris.

Sur son site web à l’adresse : https://www.avocats-picovschi.com/responsabilite-civile-du-dirigeant_article_469.html, est évoqué la responsabilité civile du dirigeant d’entreprise.

RANARISON Tsilavo CEO NEXTHOPE, supposée victime doit prouver, d’après cette étude,  « un préjudice individuel, c’est-à-dire un préjudice personnel et distinct de celui de la personne moraleLa jurisprudence tend, depuis 2006, à devenir de plus en plus sévère sur cette condition de préjudice distinct de celui subi par la société, ce qui rend cette action plus difficile à mettre en œuvre. On peut notamment le constater dans un arrêt de 2010 : « l’action individuelle d’une société associée d’une SARL à l’encontre du gérant est irrecevable dès lors que le préjudice invoqué, découlant, par ricochet, de celui de la société, ne revêt aucun caractère personnel » (Com. 1er juin 2010). »

« Lorsque cette action est exercée et qu’elle aboutit, les dommages-intérêts alloués reviennent à celui qui a agi« , c’est à dire à RANARISON Tsilavo CEO NEXTHOPE.

Pour agir contre Solo, son patron et associé majoritaire de CONNECTIC, RANARISON Tsilavo doit donc évoquer « un préjudice individuel, c’est-à-dire un préjudice personnel et distinct de celui de la personne morale, la société CONNECTIC ».

le site web est à l’adresse : https://www.avocats-picovschi.com/responsabilite-civile-du-dirigeant_article_469.html, est évoqué la responsabilité civile du dirigeant d’entreprise.

L’action civile individuelle de RANARISON Tsilavo NEXTHOPE, simple associé de CONNECTIC, est irrecevable sans un préjudice individuel d’après la loi mais ça n’a pas empêché la cour de cassation malgache d’attribuer les intérêts civils à RANARISON Tsilavo simple associé

Le contenu du site web :  https://www.avocats-picovschi.com/responsabilite-civile-du-dirigeant_article_469.html

L’action individuelle : un préjudice personnel

En principe, seul celui qui a subi le préjudice peut agir. C’est le cas lorsque la faute commise par le dirigeant a causé un préjudice propre à un tiers ou à un associé. Dans ce cas, cette personne préjudiciée exercera une action individuelle en responsabilité contre le dirigeant fautif.

Pour intenter une telle action, elle devra prouver :

  • Que le dommage causé résulte d’une faute. Il s’agira d’une faute détachable des fonctions du dirigeant dans l’hypothèse où c’est un tiers qui intente l’action. En revanche, une simple faute de gestion suffit lorsque c’est un associé qui intente l’action (Cass. Com, 9 mars 2010, n° 08-21 .547, arrêt Gaudriot).
  • Qu’elle a subi un préjudice individuel, c’est-à-dire un préjudice personnel et distinct de celui de la personne morale. La jurisprudence tend, depuis 2006, à devenir de plus en plus sévère sur cette condition de préjudice distinct de celui subi par la société, ce qui rend cette action plus difficile à mettre en œuvre. On peut notamment le constater dans un arrêt de 2010 : « l’action individuelle d’une société associée d’une SARL à l’encontre du gérant est irrecevable dès lors que le préjudice invoqué, découlant, par ricochet, de celui de la société, ne revêt aucun caractère personnel » (Com. 1er juin 2010).

Lorsque cette action est exercée et qu’elle aboutit, les dommages-intérêts alloués reviennent à celui qui a agi.

– L’action sociale : un préjudice social

La règle selon laquelle seul celui qui subit peut agir, se complique lorsque le préjudicié est la société elle-même. En effet, il appartient dans ce cas, aux représentants légaux de la société d’agir pour elle, dans son intérêt. On parle dans le jargon juridique d’action sociale ut universi. Or, bien souvent, les représentants légaux sont les dirigeants eux-mêmes. C’est pourquoi en cas de faute par les dirigeants, l’action ne pourra être intentée qu’une fois ces dirigeants révoqués ou démis de leurs fonctions, par les nouveaux dirigeants.

Mais dans le cadre d’un renforcement de la responsabilité des dirigeants, la loi prévoit aussi l’action ut singuli qui peut être intentée par :

  • Un actionnaire agissant seul ;
  • Plusieurs actionnaires (détenant au moins 10% du capital) ;
  • Les créanciers de la société en cas de procédure collective.

Dans cette hypothèse, ils agissent au nom de la société. Mais cette action n’a qu’un caractère subsidiaire par rapport à l’action ut universi, ce qui signifie qu’elle n’est effectuée qu’en l’absence d’action des représentants légaux.

Cette action demande une grande implication des actionnaires puisque la procédure se déroulera à leurs frais, et les dommages-intérêts alloués seront versés à la société et non aux associés.

L’action sociale ou individuelle en responsabilité contre les dirigeants fait l’objet de délais de prescriptionrelativement courts ; c’est pourquoi il est nécessaire d’agir sans tarder pour protéger ses intérêts.

Ces actions ont toutes un point commun : elles ont pour conséquences d’engager la responsabilité personnelle du dirigeant, qui sera le seul, en cas de condamnation, à devoir réparer le préjudice subi. En conséquence, la société elle-même ne sera donc pas mise en cause.

Ainsi, n’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un avocat d’affaires expérimenté dès lors que vous avez un doute pour la réalisation d’une opération, ou si vous êtes poursuivis en responsabilité civile. Au fait des rouages de la vie des affaires, Avocats Picovschi saura vous conseiller la meilleure stratégie pour faire valoir vos droits.

Le 22 juillet 2015 devant les policiers malgaches RANARISON Tsilavo NEXTHOPE dit que EMERGENT n’a pas le droit de vendre des produits CISCO à Madagascar

RANARISON Tsilavo CEO NEXTHOPE ose affirmer devant les policiers malgaches pour confirmer sa plainte gérée directement par le procureur général, au lieu du procureur de la République, que la société EMERGENT n’a pas le droit de vendre des produits et logiciels CISCO à Madagascar

RANARISON Tsilavo déclare que la société EMERGENT n’a pas le droit de vendre des produits et logiciels CISCO à Madagascar

 

 

C’est bizarre comme affirmation devant la police car sur le site CISCO c’est écrit que la vente des matériels CISCO est libre, tout le monde peut vendre des produits CISCO

Si vous souhaitez acheter du matériel Cisco, de nombreuses options s’offrent à vous. Vous pouvez acheter du matériel directement auprès de Cisco ou auprès des revendeurs certifiés Cisco. Vous avez également le choix entre du matériel nouveau ou d’occasion. Le matériel Cisco peut être revendu ou loué librement.
https://www.cisco.com/c/fr_ca/products/warranty-listing/hw-sw-relicensing-program-fr.html

 

 

RANARISON Tsilavo a donc montré une attestation de CISCO du 27 novembre 2013 aux policiers pour affirmer ce qui n’est pas écrit dans l’attestation puisque la vente des produits CISCO est libre

 

Une attestation de la société CISCO en langue anglaise pour embrouiller les policiers malgaches et affirmer ce qui n’est pas écrit dans cette attestation CISCO du 27 novembre 2013

 

Le fait d’être partenaire agréé CISCO permet d’obtenir des remises supplémentaires mais tout le monde peut vendre des produits Cisco

La cour d’appel d’Antananarivo dans son arrêt du 13 mai 2016 a fait pire en s’appuyant sur l’interprétation de RANARISON Tsilavo qui dit que la société EMERGENT n’a pas la droit de vendre des produits CISCO

 

Dans son email du 4 mars 2009, RANARISON Tsilavo CEO NEXTHOPE, sait très bien que tout cela est faux et que la société EMERGENT a acheté des produits CISCO chez un revendeur agréé CISCO pour être revendu à Madagascar chez CONNECTIC

 

 

www.actioncivile.ovh : RANARISON Tsilavo ne peut être partie civile et obtenir des dommages intérêts

La justice malgache a suivi les indications sur la plainte de RANARISON Tsilavo alors que, dès le dépôt de plainte gérée personnellement, par le procureur général, RANDRIANASOLO Jacques, sa constitution en partie civile est irrecevable d’après l’article 6 du code de procédure pénale et l’article 181 de la loi 2003-036 qui régit l’action individuelle dans les sociétés commerciales à Madagascar

L’article 6 du CPP malgache est clair : « L’action civile en réparation du dommage causé par un crime, un délit ou une contravention appartient à tous ceux qui ont PERSONNELLEMENT souffert du dommage DIRECTEMENT causé par l’infraction. » et d’après l’article 181 régissant les sociétés commerciales, « L’action individuelle est l’action en réparation du dommage subi par un tiers ou un associé, lorsque celui-ci subit un dommage DISTINCT du dommage que pourrait subir la société, du fait de la faute commise individuellement ou collectivement par les dirigeants sociaux dans l’exercice de leurs fonctions. » La SOCIETE CONNECTIC est la seule VICTIME PERSONNELLE et DIRECTE d’un éventuel délit d’abus de biens sociaux et non les ASSOCIES, RANARISON Tsilavo, à titre individuel. Les textes de loi appuyée par la littérature juridique est claire et nette sur ce point : l’action civile d’un associé est IRRECEVABLE.

RANARISON Tsilavo accuse Solo d’avoir fait bénéficier la société EMERGENT de 1.047.060 euros de virements sans contrepartie alors que les résultats de EMERGENT n’est que de 59.596 euros sur la période considérée

RANARISON Tsilavo, Directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012, gérant fondateur CEO NEXTHOPE Madagascar depuis novembre 2012, a signé les 76 ordres de virement totalisant 1.047.060 euros et a également joint les factures de la société EMERGENT correspondantes.

RANARISON Tsilavo a signé les 76 ordres de virement destinés à la société EMERGENT qu’il estime après illicites

Dans sa plainte pour diffamation, RANARISON Tsilavo dit :

« Monsieur ANDRIAMBOLOLO-NIVO, en sa qualité de gérant de la société CONNECTIC, payait les factures d’EMERGENT NETWORK SYSTEMS, pour un montant total de 3.663.933.565, 79 ariary, soit environ 1.047.060 euros. »

Les virements bancaires de 1.047.060 euros ont été envoyés dans les comptes bancaires de la société EMERGENT

 

 

Si les virements bancaires de 1.047.060 euros sont sans contrepartie, comment se fait il que le résultat de la société EMERGENT n’est que de 59.596 euros sur la période considérée.

D’autant plus la société EMERGENT a fait l’objet d’un contrôle fiscal qui ne peut que valider ce chiffre de 59.596 euros.

En fait, RANARISON Tsilavo lui-même dans un email du 25 avril 2012 donne l’explication : EMERGENT a envoyé pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels à la société CONNECTIC

 

Explication plus détaillée sur le site www.emergent-network.com

 

 

La société française EMERGENT NETWORK a donc bénéficié de 1.047.060 euros de virements sans contrepartie. Comme, il n’y a pas de contrepartie, les résultats de la société EMERGENT NETWORK doivent être impactés par ces virements.

Or, les résultats de la société française EMERGENT NETWORK n’est que de 59.596 euros de 2009 à 2012.

La société EMERGENT NETWORK est soumise à l’impôt sur le revenu.  En tout et pour tout, en rémunération de son travail, Solo a touché 59.596 euros de 2009 à 2012.

Il ne faut pas oublier que la société EMERGENT NETWORK a fait l’objet d’un contrôle fiscal en février 2013 qui a entériné les résultats fiscaux de 59.596 euros pour la période 2009 à 2012.

 

 

 

 

En fait, RANARISON Tsilavo reconnaît lui même le 25 avril 2012, l’envoi par Solo de 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels en contrepartie des virements .

Donc la société CONNECTIC a envoyé 1.047.060 euros de virements à la société EMERGENT. Mais elle a reçu en retour 1.361.125 USD et 297.032 euros que le plaignant, RANARISON Tsilavo lui-même a accusé réception le 25 avril 2012

 

 

la douane française a également constaté que la société EMERGENT 1.415.430 euros de marchandises à la société CONNECTIC

 

La totalité des déclarations douanières EX1 est ici.

 

 

TOUTES LES AUTRES PREUVES SUR WWW.EMERGENT-NETWORK.COM

 

La justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond.  

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

Les magistrats malgaches ont violé les lois malgaches dans leurs jugements qui favorisent RANARISON Tsilavo

Article 6 du code pénal malgache, l’action civile appartient à tous ceux qui ont souffert DIRECTEMENT et PERSONNELLEMENT du dommage

L’action civile en réparation du dommage causé par un crime, un délit ou une contravention appartient à tous ceux qui ont personnellement souffert du dommage directement causé par l’infraction.
Article 6 du code de procédure pénale malgache

Pour un supposé délit d’abus de biens sociaux, c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle du dommage et non l’associé, RANARISON Tsilavo qui a obtenu 1.500.000.000 ariary d’intérêts civils à titre personnel 

 

 

 

RANARISON Tsilavo n’est pas la victime directe et personnelle du soi-disant abus des biens sociaux, il n’a pas droit aux aux intérêts civils

Les juges du fond, RAMBELO Volatsinana du Tribunal correctionnel d’Antananarivo et RANDRIARIMALALA Herinavalona de la Cour d’appel d’Antananarivo, ont attribué 1.500.000.000 ariary équivalent de 428.492 euros de dommages intérêts à RANARISON Tsilavo pour sa plainte d’abus de biens sociaux contre Solo.

L’article 6 du code de la procédure pénale malgache est cependant claire en ce qui concerne l’action civile :

L’action civile en réparation du dommage causé par un crime, un délit ou une contravention appartient à tous ceux qui ont personnellement souffert du dommage directement causé par l’infraction.
Article 6 du code de procédure pénale malgache

RANARISON Tsilavo n’est pas la victime directe et personne de l’infraction

C’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle d’un abus des sociaux

Les intérêts civils reviennent à CONNECTIC et non à RANARISON Tsilavo d’après l’article 6 du code de procédure pénale

 

RANARISON Tsilavo dit qu’on peut modifier un email gmail si on a le mot de passe

Le plumitif est la prise de note effectuée par le greffier pendant le procès de Solo, le propriétaire de la société CONNECTIC. Le 8 décembre 2015 devant la barre du tribunal correctionnel d’Antananarivo, RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, ancien directeur exécutif de CONNECIC jusu’en septembre 2012 affirme :

– Possible tsara ny fanovana contenu e-mail raha fantatra ny mot de passe
– i P no mi gérer ny domaine e-mail n’i Sté

il est possible de modifier le contenu d’un e-mail une fois qu’on connait le mot de passe,
P (Solo) est le gestionnaire du domaine e-mail de la société (CONNECTIC) »

Extrait du plumitif lors du procès de Solo le 8 décembre 2015. C’est RANARISON Tsilavo qui a déposé ces affirmations à la barre.

Le but de RANARISON Tsilavo est faire croire à l’auditoire que toutes les preuves basées sur de l’email n’est pas crédible. En effet, comme Solo gère de loin la société CONNECTIC, tout ce qui est dit et se fait dans la société est consigné par écrit et envoyé par e-mail. Il a donc peur d’être démasqué au plus vite, car tout ce qu’il dit et affirme sont  basés sur du mensonge et de la complaisance de la justice.

Les emails produits par Solo pour prouver sa bonne foi peuvent donc être trafiqués d’après le dire de RANARISON Tsilavo. Comment ? en les modifiant tout simplement, après avoir entré le nom d’utilisateur et le mot de passe, on peut donc changer le contenu d’un email que l’on consulte chez Gmail, en ligne. RANARISON Tsilavo a pris soin de boucler de suite Solo à la prison d’Antanimora pour qu’il ne puisse pas se défendre.

Devant le juge d’instruction, le 3 septembre 2015, RANARISON Tsilavo gérant fondateur de la société NEXTHOPE (Intégrateur CISCO SYSTEMS, ODOO, VMWAre) depuis novembre 2012 a véhiculé le même mensonge. Pour un supposé gourou du web à Madagascar, ça fait un peu désordre.

F.V : I Atoa Solo  no mi géré  ny compte e mail ao amin’ny sté connectic hatramin’izao fa mety misy manipulation ataony  ka azony ataony  ny mamoaka e mail atao hoe nosoratako amin’ny anarako

QR : C’est Mr Solo qui gère jusqu’à ce jour les comptes email de la société Connectic. Il pourrait avoir recouru à des manipulations pour envoyer des e mails supposé rédigés par ma personne et en mon nom.

Extrait de  la déclaration RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, devant le juge d’instruction le 3 septembre 2015, traduit par traducteur assermenté auprès des tribunaux.

Malheureusement pour lui, le serveur de messagerie (qui gère les e-mails) de la société CONNECTIC est géré par la société GOOGLE, Gmail for work. Et on a eu la réponse de GOOGLE qui dit qu’un message envoyé ne peut pas être modifié. RANARISON Tsilavo sait très bien aussi que c’est GOOGLE qui gère la messagerie de CONNECTIC. Mais plus le mensonge est gros, plus ça risque de passer puisque RANARISON Tsilavo est tout de même le gérant fondateur d d’une entreprise dans la technologie d’information à Madagascar, la société NEXTHOPE.

Sur gmail, on ne peut que transférer ou effacer un message qu’on a reçu contrairement à la légende colportée par RANARISON Tsilavo

Lors du procès du 8 décembre 2015, RANARISON Tsilavo dit qu’il est possible de modifier le contenu d’un e-mail une fois qu’on connait le mot de passe

D’après l’extrait de ce plumitif , signé et daté par le greffier, on a le compte rendu complet du procès qui s’est tenu le 8 décembre 2015. RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE n’a sorti que des mensonges. Parmi ceux-ci :

-Possible tsara ny hanovana contenu e-mail raha fantatra ny mot de passe,
-i P no migerer ny domain e-mail n’i sté

RANARISON Tsilavo peut raconter des bobards aux prospects et clients des datacenters à base de CISCO, VMWARE, ODOO et HP à Madagascar mais les faits sont têtus. Les emails lorsqu’ils ont été envoyés ne peuvent pas être modifiés. Essayez de modifier en ligne un email en ligne sur webmail et vous êtes fixé. Seul le brouillon, c’est à dire un email non encore envoyé peut être modifié.

Il se peut que RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar, a confondu un brouillon d’un email définitif.

RANARISON Tsilavo affirme devant le juge d’instruction le 3 septembre 2015 que Solo peut faire de la manipulation des e-mails gmail

RANARISON Tsilavo affirme devant le juge d’instruction :

C’est Mr Solo qui gère jusqu’à ce jour les comptes email de la société CONNECTIC. Il pourrait avoir recouru à des manipulations pour envoyer des e-mails supposés par ma personne et en mon nom

F.V I Mr Solo no mi-géré ny compte e mail ao amin’ny Sté connectic hatramin’izao ka mety hisy manipulation ataony ka azony ataony ny mamaoka e mail atao hoe nosoratako amin’ny anarako.

RANARISON Tsilavo qui se targue d’être un grand manitou du CLOUD  (VMWARE, ODOO, Datacenter, etc) ne peut pas ignorer que le serveur d’emails de CONNECTIC sont dans le CLOUD  et est hébergé par GOOGLE dans le cadre de l’offre GOOGLE for Work

Google for Work is a service from Google that provides customizable enterprise versions of several Google products using a domain name provided by the customer. It features several Web applications with similar functionality to traditional office suites, including Gmail,

Le serveur email de CONNECTIC est donc hébergé par GOOGLE.

On a posé la question à GOOGLE si on peut modifier un message hébergé dans gmail. La réponse est bien sûr : NON. Un message Gmail ne peut être que transféré ou effacé. Mais que ne dit pas RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012 pour emprisonner son ancien patron et essayer de gagner de dommages et intérêts, non content d’avoir déjà pu emprisonner Solo pendant 5 mois à Antanimora.

Mais comme le dit Solo, « je considère cet emprisonnement comme un trophée ». Incroyable mais vrai, Solo a osé dire ça devant la Cour lorsqu’on lui a demandé le dernier mot à la fin du procès.

 

La question à Google : Peut on modifier le contenu d’un email qui se trouve dans le serveur Gmail ?

Bonjour
Gmail consulté par webmail
Lors d’un procès en cours à Madagascar,  un ingénieur informaticien dit qu’on peut consulter ou  transférer ou supprimer un email qui se trouve dans un serveur gmail.
Un huissier de justice à qui on donne le nom d’utilisateur et mot de passe ne peut donc  faire que la consultation, le transfert et la suppression de chaque message sur le compte gmail en mode consultation en ligne par webmail.
Il ne peut en aucun cas faire une modification du contenu, tout en conservant la date et l’heure ainsi que les destinataires.
La partie adverse, directeur d’une entreprise TIC à Madagascar,  soutient qu’on peut modifier un email moyennant un savoir faire.
Questions :
1 – qui doit on contacter pour avoir la position officielle de google sur la possibilité de modifier un email hebergé chez gmail dans le cadre des goole/apps ?
Un email de preuves qu’un huissier va constater avec le nom d’utilisateur et le mot de passe a t-il pu faire l’objet d’une modification ?
2 – Pensez vous que la partie adverse a raison et qu’il ne s’agit pas d’intox
cordialement

Un expert de google a répondu : Les messages gmail envoyés ou reçus ne sont pas modifiables

∙•●Eric31●•∙ a dit :

Bonjour Solo,

Sur le serveur Gmail :
  • Les seuls messages modifiables sont les brouillons.
  • Les message envoyés ou reçus ne sont pas modifiables.
Ne vous laissez pas abuser par un bidouilleur qui modifie le message sur son PC : un simple traitement de texte permet d’écrire n’importe quoi…
J’ai aussi déjà vu un soit-disant message transféré qui n’était qu’un faux. Seul le message original fait foi.

Réponse officielle de Google certifié par un huissier

06/01/16 à 11:01 AM
Bonjour,
Je suis Thomas du support technique Google for Work. J’étais ravi de vous

Vente aux enchères publiques des biens immobiliers de Solo le 19 avril 2017

Septième tentative depuis la première tentative du 21 septembre 2016 pour  vendre aux enchères publiques les biens immobiliers de l’ancien patron de RANARISON Tsilavo .

Rendez vous est donné le mercredi 19 avril 2017 à l’audience des criées du Tribunal de Première instance d’Antananarivo à 10 heures du matin, au Palais de justice, salle n°7.

Le jugement sera rendu par le Tribunal d’Antananarivo pour le mercredi 19 mai 2017. La partie adverse a encore demandé un renvoi de la vente aux enchères car des pièces manquent encore.

 

 

Mode de calcul des dommages et intérêts dûs à RANARISON Tsilavo par la Cour d’appel d’Antananarivo

Les textes de loi malgaches (article 6 du code de procédure pénale et article 181 de la loi 2003-036 régissant les sociétés commerciales) sont clairs :

c’est la société CONNECTIC qui est la victime du soit-disant abus des biens sociaux et non RANARISON Tsilavo, simple associé.

 

Mais on se pose quand même la question, comment nos juges du fond ont calculé les intérêts civils attribués à RANARISON Tsilavo, car on ne retrouve aucune indication dans le jugement du 15 décembre 2015 et dans l’arrêt du 13 mai 2016

Dans l’affaire opposant RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012, la Cour d’appel d’Antananarivo par son arrêt du 13 mai 2016 a attribué des dommages et intérêts s’élevant à 1 500 000 000 Ariary (Un milliard 500 millions) à RANARISON Tsilavo.
RANARISON Tsilavo détient 20 % de la société CONNECTIC soit disant victime d’abus de biens sociaux de la part de Solo qui a envoyé 72 ordres virements internationaux, d’un montant au total de 3 663 933 565,79 Ariary, tous signés par RANARISON Tsilavo à la société française EMERGENT.

Quel est le mode de calcul des dommages et intérêts effectués par la Cour d’appel d’Antananarivo pour arriver à 1 500 000 000 Ariary (1 milliard 500 millions) pour un associé, RANARISON Tsilavo, qui ne détient que 20 % des parts sociales dans la société CONNECTIC ?

Le dédommagement du préjudice matériel

Le montant total des virements internationaux suspects s’élèvent à 3 663 933 565,79 Ariary, le montant du préjudice matériel de RANARISON Tsilavo est calculé au prorata des parts détenues qu’il détient dans la société CONNECTIC, 20 %, et ne peut pas donc excéder,  732.786.713 Ariary (3 663 933 565,79 Ariary x 20 %).

Le dédommagement du préjudice moral

Un préjudice moral d’après le livre d’Eva Joly et de Caroline Joly-Baumgartner, L’abus des biens sociaux à l’épreuve de la pratique peut être indemnisé symboliquement à 1 Ariary.

Comment a été donc calculé les dommages et intérêts de 1 milliard 500 millions d’Ariary attribués à RANARISON Tsilavo par la Cour d’appel d’Antananarivo ?

Chacun sa conscience, et chacun peut tirer sa conclusion dans cette attribution de dommages et intérêts d’autant plus que l’infraction d’abus de biens sociaux n’est même pas constitué.

Quels dommages et intérêts peuvent réclamer les victimes ? d’après Eva Joly et Caroline Joly-Baumgartner

Les dommages et intérêts pouvant être rréclamés dépendent de la qualité de la victime. Nous envisagerons successivement le cas du préjudice subi par la société elle-même et celui des associés ou actionnaires, bien que la jurisprudence récente semble dénier à ces derniers le droit de réparation devant la juridiction pénale.

Dans tous les cas, l’évaluation du préjudice subi par la ou les victimes dépend de l’appréciation souveraine des juges du fond.

1 – Dommage et intérêts pouvant être réclamés par la société victime

– Préjudice matériel

L’action de la société vise essentiellement à reconstituer le patrimoine social, en réclamant l’équivalant du montant de l’abus des biens poursuivi. Le dirigeant déclaré coupable peut être condamné non seulement à rembourser les sommes détournées, mais également à des dommages et intérêts supplémentaires.

Il a été admis par la jurisprudence, par exemple, que les dommages et intérêts alloués à une partie civile, à la suite de l’émission d’une fausse facture dans le cadre d’un abus de biens sociaux, pourraient comprendre le montant de la TVA et les pénalités fiscales liées au retard de paiement de cette taxe.

– Prejudice moral

la société peut également demander réparation du préjudice moral résultant de l’atteinte portée à son crédit ou sa réputation.

L’atteinte à l’image d’une société cotée peut être très grave et pourrait se traduire par l’allocation à son profit de dommages et intérêts sans communes mesures avec les montants détournés

2 – Dommages et intérêts qui avaient été alloués aux associés ou actionnaires victimes avant le revirement de jurisprudence du 13 décembre 2000

L’action des associés ou actionnaires en tant que victimes visait à obtenir réparation de leur préjudice personnel alors reconnu comme distinct de celui subi par la société.

Conclusion : la Cour d’appel d’Antananarivo a fixé les dommages et intérêts par rapport à la capacité contributive de Solo

Il n’y a aucune base juridique et logique pour arriver à la somme de 1 milliard 500 millions d’Ariary de dommages et intérêts attribués à RANARISON Tsilavo en tant que partie civile.

Les dommages et intérêts ne sont pas même intégrés dans la caisse sociale de la société mais constituent un butin net pour le plaignant. On a tout vu dans cette histoire !D’autant plus que toutes les preuves montrent que Solo n’a pas fait d’abus de biens sociaux.

Pour aller plus loin : La réparation doit être, en principe, intégrale et n’engendrer pour la victime ni perte ni profit.

ce principe ayant plusieurs conséquences :
une réparation forfaitaire n’est pas a priori envisageable ; l’ensemble du préjudice effectivement subi par la victime devant être pris en considération. La Cour de cassation a précisé dans le cas de victimes en état végétatif qu’un tel état n’excluant aucun chef d’indemnisation, leur préjudice devait être réparé dans tous ses éléments (2e Civ., 28 juin 1995, Bull. 1995, II, n° 224, p. 129, pourvoi n° 93-18.465 ; Crim., 5 janvier 1994, Bull. crim., 1994, n° 5, p. 8, pourvoi n° 93-83.050) ;
la réparation ne peut excéder le montant du préjudice subi. La Cour de cassation en a déduit que violait l’article 1147 du code civil, une cour d’appel qui avait retenu qu’une victime avait perdu une chance d’éviter le dommage, à la suite de la méconnaissance par le praticien de son obligation d’information, alors qu’elle venait d’en réparer intégralement les conséquences (1re Civ., 22 novembre 2007, Bull. 2007, I, pourvoi n° 06-14.174)  ;

L’extrait du livre d’Eva Joly sur l’abus des biens sociaux

D’ailleurs sur le site CISCO, c’est écrit que : « Le matériel Cisco peut être revendu ou loué librement. »

Puisque tout le monde peut vendre des produits Cisco librement sans autorisation : la cour d’appel a dénaturé le contenu de l’attestation Cisco du 26 novembre 2013 et que la cour de cassation ne peut que casser l’arrêt de la cour d’appel

RANARISON Tsilavo fondateur de NEXTHOPE ose dire qu’il a été forcé par son patron Solo de signer des ordres de virement à blanc

72 virements internationaux de la société CONNECTIC Madagascar à la société EMERGENT en France ont été signés par RANARISON Tsilavo directeur exécutif de la société CONNECTIC jusqu’en septembre 2012. Les 72 virements internationaux sans contrepartie sont la base de la plainte pour abus des biens sociaux dont on accuse Solo s’élève à 3.663.933.565 Ariary ($ 480.488,00 et 958.941,00 euros) du 20 juillet 2015 et ils ont été émis pendant 4 ans de 2009 à 2012.

RANARISON Tsilavo ne peut pas nier qu’il n’a pas signé les 72 virements internationaux  puisqu’il est le seul signataire des comptes bancaires de la société CONNECTIC. On a montré les attestations des banques ainsi que les ordres de virements tous signés par RANARISON Tsilavo au juge d’instruction et aux différents intervenants de ce dossier.

La tactique de RANARISON Tsilavo pour rendre crédible sa plainte est d’affirmer que Solo lui a forcé de signer au préalable des ordres de virements bancaires à blanc et qu’il n’est pas au courant de l’usage des ordres de virement signés à blanc comme il l’a évoqué devant le juge d’instruction le 3 septembre 2015.

Mais de toute façon, les virements ont une contrepartie qu’est l’envoi des matériels à Madagascar que RANARISON Tsilavo a établi une récapitulation annuelle dans son email du 24 avril 2012 et qui est confirmé par les attestations EX1 établies par la douane française : la plainte pour abus de biens sociaux n’a pas raison d’être.

Voir également :
De 2009 à 2011, la douane française a constaté 1.415.430 euros d’envoi de marchandises de EMERGENT à CONNECTIC Madagascar d’après les formulaires EX1
 RANARISON Tsilavo de NEXTHOPE accuse Solo d’abus de biens sociaux alors que RANARISON  Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE a accusé lui même réception des produits envoyés par Solo de France

RANARISON Tsilavo reçoit chaque soir la copie des rapports d’activités des collaborateurs de CONNECTIC qui mentionnent entre autres les virements internationaux de CONNECTIC vers EMERGENT

RANARISON Tsilavo avait reçu jusqu’au 8 mai 2012 les différents rapports générés par l’intranet

Comme le rappelle RANARISON Tsilavo dans cet email du 29 mai 2012, il avait reçu jusqu’au 8 mai 2012 des états et différents rapports générés par l’intranet  qui sont alimentés par tous les salariés de CONNECTIC. Il ne peut pas dire que jusqu’au 8 mai 2012, il a reçu les différents documents énoncés par cet email qui a comme titre : « Etats générés par l’intranet ».

Miora, José,
Je n’ai plus reçu les états et différents rapports  générés par lIntranet depuis le 8 mai :
– Journal de banques et caisse,
Etats des créances,
– Rapport journalier et intervention,
– Budget de trésorerie.
Merci de bien vouloir voir.
Cdt.
Tsilavo

Cet émail entérine que RANARISON Tsilavo est bien réceptionnaire de tout ce qui se passe chez CONNECTIC, par le biais de l’intranet, et il ne peut pas nier ne pas être au courant de tout ce qui se passe chez CONNECTIC dont l’envoi de 72 virements internationaux à la société Emergent, de 2009 à 2012 pendant quatre années, pour acheter des équipements pour le compte de la société CONNECTIC.

L’intranet est cette application ERP de type ODOO que la société NEXTHOPE essaie de vendre actuellement à Madagascar. On a tout vu, un vendeur d’application ODOO

Exemple de rapport quotidien envoyé par les salariés de CONNECTIC

Sur cet email daté du 1er décembre 2011 envoyé par la trésorière à RANARISON Tsilavo, qui est le rapport quotidien de chaque employé de la société CONNECTIC, en bas de page, deux virements pour la société EMERGENT y sont mentionnées de 25.031 USD (55.068.200 Ariary) et de 22.050 euros (66.150.000 Ariary). RANARISON Tsilavo ne peut donc dire qu’il n’est pas au courant des virements internationaux destinés à la société CONNECTIC.

Un rapport quotidien de RAHARISON Gisèle qui fait état de deux virements à EMERGENT. RANARISON Tsilavo est bien le destinataire du rapport.

RANARISON Tsilavo dit devant le juge d’instruction : j’ai signé en blanc plusieurs chèques bancaires et ordres de virement et c’est pourquoi, je n’ai pas pu être au courant de tous ces transferts irréguliers vers la société Emergent.

F.V : – Marobe ireo chèque sy ordre de virement izay nosoniaviko en blanc satria no exigén’i Atoa Solo izay no nahatonga ahy tsy nahatsikaritra mihintsy ireo transfert tsy ara-dalàna ireo tamin’y sté emerjent.

La traduction par un Traducteur assermenté de ce que RANARISON Tsilavo a dit au juge d’instruction en septembre 2015.

QR : selon les exigences de Mr Solo, j’ai signé en blanc plusieurs chèques bancaires et ordres de virement et c’est pourquoi, je n’ai pas pu être au courant de tous ces transferts irréguliers vers la société Emergent.

 

Ce que disent le responsable administratif et financier et la trésorière lors d’une sommation interpellative

Ce qui dit RANARISON Tsilavo est en contradiction avec les dires du Responsable administratif et financier de Connectic ainsi que de la trésorière qui dit que RANARISON Tsilavo ne signe que des ordres de virement remplis selon cette sommation interpellative faite par un huissier le 13 novembre 2015

6°) Tout d’abord, j’aimerai préciser que je n’étais pas en charge directe de la trésorerie. Par contre, je pourrais dire que s’il y avait signature en blanc, ce devrait être très rare et vraiment exceptionnel
D’après le Responsable administratif et financier de CONNECTIC pendant la période de 2009 à 2012

La comptable dit également la même chose

6°) Mr Tsilavo RANARISON signe les ordres de virement remplis
D’après la trésorière et la comptable de CONNECTIC pendant la période de 2009 à 2012

Les questions qui ont été posées sont les suivantes, la question 6 concerne la signature des ordres de virement :

6°) Durant votre présence au sein de ladite Société, les  ordres de virement  ont été signés en blanc ou remplis  avant signature ?
Question posée lors de la sommation interpellative du 13 novembre 2015

La sommation interpellative de l’hussier

Ces deux emails  parmi d’autres montrent que RANARISON Tsilavo est en copie des emails quotidiens et sur les deux emails qui font état des virements à la sociaté EMERGENT.

 

Pour aller plus loin
On a détaillé ici le circuit complet des trois premiers virements de CONNECTIC à EMERGENT

Les attestations bancaires qui disent que RANARISON Tsilavo est le seul signataire des comptes de CONNECTIC

Les attestations sont claires et nettes, le seul signataire des comptes bancaires de CONNECTIC est RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de CONNECTIC.

CONCLUSION : RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE a encore menti, il n’a pas signé des ordres de virement a blanc

A l’issue de son plein gré, comme Richard VIRENQUE, RANARISON Tsilavo a bien signé les 72 ordres de virements internationaux de CONNECTIC pour EMERGENT, de 2009 à 2012 .