RANARISON Tsilavo reconnaît que Solo  a envoyé des équipements pour $1.361.121,68 et 297.032,93  Euros à CONNECTIC

En résumé
  1. Avec cet unique email, on démontre que la plainte pour abus de biens sociaux est sans fondement puisque la contrepartie en matériels CISCO entre autres est bien réelle. Avec cette unique pièce transmise à la chaîne pénale malgache, dès le début de la procédure, la plainte devrait être sans suite car les 72 virements internationaux ont bien une contrepartie. 
  2. Le fichier attaché que RANARISON Tsilavo dans son du 24 avril 2012 authentifié par le huissier de justice  ayant pour titre Récapitulatif annuel des achats des équipements effectués par  Mr SOLO. En totalisant les chiffres, on retrouve 1.361.125 USD et 297.032 euros, soit l’équivalent de 3.924.041.500 ariary  pour les montants des équipements envoyés par Solo.
  3. Le 4 mars 2009, RANARISON Tsilavo dit au grossiste CISCO de facturer la maison mère de CONNECTIC, EMERGENT NETWORK SYSTEMS qui va se charger de payer les factures et d’envoyer les équipements CISCO à Madagascar
  4. En 2009, les douanes françaises ont constaté 322.118 euros d’envoi de marchandises par la société française EMERGENT de Solo  à CONNECTIC appuyé par des documents EX1
  5. En 2010, les douanes françaises ont constaté 761.045 euros d’envoi de marchandises par la société de Solo EMERGENT à la société CONNECTIC avec des documents EX1 comme preuve à l’appui
  6. – En 2011, les douanes françaises ont constaté 322.267 euros d’envoi de marchandises appuyé par des documents douaniers EX1 par la société EMERGENT à la société CONNECTIC –
  7. Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle
  8. Les photos de l’expulsion de Solo suite à l’attribution des biens immobiliers de RANARISON Tsilavo à Solo

En avril 2012, RANARISON Tsilavo, directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012 et gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, a demandé à Solo de faire l’état des comptes de la société. Il a ainsi établi lui-même les éléments permettant de faire les comptes de la société CONNECTIC et les a transmis par email à Solo et au Responsable administratif et financier de la société le 25 avril avril 2012 .

Avec cet unique email, on démontre que la plainte pour abus de biens sociaux est sans fondement puisque la contrepartie en matériels CISCO entre autres est bien réelle. Avec cette unique pièce transmise à la chaîne pénale malgache, dès le début de la procédure, la plainte devrait être sans suite car les 72 virements internationaux ont bien une contrepartie. 

Par un email daté du 25 avril 2012, authentifié par des huissiers tant en France qu’à Madagascar,  et déposé dans le dossier pénal de Solo, RANARISON Tsilavo a reconnu lui-même dans son tableau récapitulatif que Mr Solo a envoyé à la société CONNECTIC des équipements et matériels s’élevant à 1.361.125 USD et 297.032 euros, soit l’équivalent de 3.924.041.500 ariary à comparer au montant des 72 virements internationaux qui s’élève d’après la plainte pour abus de biens sociaux  à 3.663.933.579,79 Ariary (équivalent de 480.488 USD et 958.941 euros).

Deux huissiers de justices ont été sollicités, l’un à Madagascar et l’autre en France pour authentifier ce document clé.

 

 

 

Le fichier attaché que RANARISON Tsilavo dans son du 24 avril 2012 authentifié par le huissier de justice  ayant pour titre Récapitulatif annuel des achats des équipements effectués par  Mr SOLO. En totalisant les chiffres, on retrouve 1.361.125 USD et 297.032 euros, soit l’équivalent de 3.924.041.500 ariary  pour les montants des équipements envoyés par Solo.

L’huissier de justice a fait les constatations dans les règles de l’art en accédant à la boite à lettres de Solo hébergée chez GOOGLE.

Le 4 mars 2009, RANARISON Tsilavo dit au grossiste CISCO de facturer la maison mère de CONNECTIC, EMERGENT NETWORK SYSTEMS qui va se charger de payer les factures et d’envoyer les équipements CISCO à Madagascar

D’ailleurs les trois premiers virements envoyés par CONNECTIC à EMERGENT en mars 2009, ont servi à règles deux factures du grossiste des produits CISCO. (Dossier 24 joint)

 

 

En 2009, les douanes françaises ont constaté 322.118 euros d’envoi de marchandises par la société française EMERGENT de Solo  à CONNECTIC appuyé par des documents EX1

En 2010, les douanes françaises ont constaté 761.045 euros d’envoi de marchandises par la société de Solo EMERGENT à la société CONNECTIC avec des documents EX1 comme preuve à l’appui

– En 2011, les douanes françaises ont constaté 322.267 euros d’envoi de marchandises appuyé par des documents douaniers EX1 par la société EMERGENT à la société CONNECTIC

Pour aller plus loin :
En 2009, les douanes françaises ont constaté 322.118 euros d’envoi de marchandises par la société française EMERGENT de Solo  à CONNECTIC appuyé par des documents EX1

En 2010, les douanes françaises ont constaté 761.045 euros d’envoi de marchandises par la société de Solo EMERGENT à la société CONNECTIC avec des documents EX1 comme preuve à l’appui
En 2011, les douanes françaises ont constaté 322.267 euros d’envoi de marchandises appuyé par des documents douaniers EX1 par la société EMERGENT à la société CONNECTIC

De 2009 à 2011, d’après les documents des douanes françaises, la société française EMERGENT a donc envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de marchandises, à comparer. Et d’après l’email de RANARISON Tsilavo du 25 avril 2012, dans son tableau récapitulatif attaché à cet email, il reconnait que Solo a envoyé pour $1.361.121,68 et 297.032,93 de produits à Madagascar chez CONNECTIC

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites internet de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON Tsilavo en toile de fond  — diffamer —

Les magistrats qui ont violé les lois malgaches au bénéfice de RANARISON Tsilavo, simple associé, qui s’est vu attribué 1.500.000.000 (un milliard cinq cent millions ) Ariary d’intérêts civils. Solo a été condamné également  à deux ans de prison avec sursis.

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

L’arrêt de la cour de cassation à Madagascar viole les lois malgaches :

  • en attribuant les intérêts civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, au lieu et à la place de la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux.
  • en acceptant que la cour d’appel viole l’article 2 de la Loi sur la concurrence dans sa motivation.

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les textes de lois applicables à Madagascar qui ont été  violé par les magistrats malgaches pour condamner Solo à deux ans de prison avec sursis et attribuer 1.500.000.000 (un milliard cinq cents millions) Ariary équivalent de 428.492 euros d’intérets civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle.

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

 

Les photos de l’expulsion de Solo suite à l’attribution des biens immobiliers de RANARISON Tsilavo à Solo

Les 76 virements internationaux de 1.047.060 euros que RANARISON Tsilavo considèrent comme illicites ont une contre partie et les 76 OVs ont été signés par le plaignant lui-même : la preuve complète est ici !

En résumé
  1. Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2009 TOUS signés par RANARISON Tsilavo puisqu’il est l’unique signataire des comptes
  2. Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2010 signés par RANARISON Tsilavo
  3. Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2011 signés par RANARISON Tsilavo
  4. Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2012 signés par RANARISON Tsilavo
  5. Les responsables financiers de CONNECTIC affirment dans une sommation interpellative que c’est bien RANARISON Tsilavo qui ont signé les ordres de virement remplis
  6. Ce n’est pas un abus de blanc seing puisqu’il reçoit chaque jour automatiquement un journal internet généré par le système informatique de la société CONNECTIC
  7. La Responsable administratif et financier ainsi que la Trésorière confirme qu’il n’y a pas d’ordre de virement signé à blanc chez CONNECTIC lors d’une sommation d’huissier
  8. RANARISON Tsilavo a donc signé lui même les 72 ordres de virements destinés à  la société EMERGENT par CONNECTIC
  9. Les 76 factures de la société française EMERGENT ont été toutes établies par RANARISON Tsilavo chez CONNECTIC à Madagascar
  10. Ainsi, la première facture  de EMERGENT  établie par RANARISON Tsilavo a pour objet IOS (licence CISCO SYSTEMS) et c’est RANARISON Tsilavo qui le dit dans son email du 3 mars 2009
  11. L’extrait de la plainte avec demande d’arrestation de RANARISON Tsilavo du 20 juillet 2015 est  la suivante :
  12. La Cour Suprême de Madagascar  a émis pour cela un pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) le 20 septembre 2016 pour les raisons suivantes :
  13. puisque les virements internationaux ont servi à la société française EMERGENT d’acheter les équipements vendus à Madagascar par la société CONNECTIC. R
  14. Quant aux factures qui seraient arguées de faux, elles sont l’oeuvre de RANARISON Tsilavo lui même 
  15. C’est clair et net, ce que dit RANARISON Tsilavo :  » Par contre, vous devriez émettre une facture au nom de EMERGENT  au lieu de CONNECTIC »
  16. RANARISON Tsilavo est le seul signataire des ordres de virement de CONNECTIC pour EMERGENT comme le montre les attestations bancaires 
  17. Une pièce d’anthologie pour les trois premiers virements à EMERGENT initiés par RANARISON Tsilavo lui-même
  18. CONNECTIC a émis pour 130.485 USD de virements à la société française EMERGENT et en contrepartie a reçu pour 121.759,77 USD de produits de marque CISCO facturés par  le grossiste WESTCON
  19. LES REGLES DE DROIT SUR LES ABUS DE BIEN SOCIAUX
  20. Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle
  21. Les photos de l’expulsion de Solo suite à l’attribution des biens immobiliers de RANARISON Tsilavo à Solo

C’est bien la signature de RANARISON Tsilavo qui se trouve sur cet avis de virement bancaire pour un envoi de fond de la société malgache CONNECTIC vers la société française EMERGENT NETWORK.

Non seulement les 76 ordres de virements internationaux ont une contrepartie mais ils ont été également tous signés par RANARISON Tsilavo sans exception. Oui les 76 ordres de virements internationaux ont été tous signés par RANARISON Tsilavo puisqu’il est le seul et unique signataire des comptes bancaires de la société CONNECTIC.

Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2009 TOUS signés par RANARISON Tsilavo puisqu’il est l’unique signataire des comptes

Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2010 signés par RANARISON Tsilavo

Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2011 signés par RANARISON Tsilavo

Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2012 signés par RANARISON Tsilavo

Les responsables financiers de CONNECTIC affirment dans une sommation interpellative que c’est bien RANARISON Tsilavo qui ont signé les ordres de virement remplis

 

Pour se justifier, RANARISON Tsilavo va affirmer que Solo lui a forcé de signer des ordres de virement à blanc. Mais pourquoi n’a t-il pas porté une plainte pour abus de blanc-seing , si tel est le cas?

 

Le blanc-seing est défini comme une signature apposé sur une page blanche que sera complétée par la suite, soit par une mention manuscrite, soit par un  texte dactylographié.
On parle d’abus de blanc-seing lors que quelqu’un s’en sert pour y placer un contenu qui n’était pas le convenu ou prévu initialement.
Ce procédé, étant très habituel dès nos jours chez les présidents, directeurs, gérants et les cadres supérieures, dans le but de donner une suite opérationnelle à l’activité de la société lors que ceux-ci sont en déplacement professionnel, en vacances ou en arrêt maladie, est souvent utilisé par salaries et collègues de la même entreprise à de fins très diverses, et normalement en leur propre bénéfice.

Ce n’est pas un abus de blanc seing puisqu’il reçoit chaque jour automatiquement un journal internet généré par le système informatique de la société CONNECTIC

RANARISON Tsilavo dit aux Responsables de CONNECTIC qu’il ne reçoit plus les états générés par l’intranet depuis le 8 mai 2012. A contrario, il a toujours reçu les états générés par l’intranet.

La Responsable administratif et financier ainsi que la Trésorière confirme qu’il n’y a pas d’ordre de virement signé à blanc chez CONNECTIC lors d’une sommation d’huissier

Un huissier a fait une sommation interpellative le 13 novembre 2015 aux deux interessés pour  confirmer qu’il n’y a pas d’ordre de virement signé à blanc chez CONNECTIC.

La question posée par l’huissier de justice  concernant le point 6 est la suivante :
6°) Durant votre présence au sein de ladite Société, les ordres de virement ont été signés à blanc ou remplis avant signature :
– La Responsable Comptabilité et Fiscalité répond comme suit dans la sommation du 13 novembre 2015 :  » Tout d’abord j’aimerai préciser que je ne suis pas en charge directe de la trésorerie. Par contre, je pourrais dire qu’il n’y avait pas signature en blanc »
– La réponse de la Trésorerie est la suivante  » Mr Tsilavo RANARISON signe les ordres de virement remplis. »

RANARISON Tsilavo a donc signé lui même les 72 ordres de virements destinés à  la société EMERGENT par CONNECTIC

RANARISON Tsilavo, directeur exécutif de la société CONNECTIC  a signé  lui-même les 76  formulaires bancaires correspondant aux  76 ordres de virements internationaux et a aussi joint  une facture à chacun des 76 ordres de virement qu’il a envoyé à la société EMERGENT en France – RANARISON Tsilavo est le seul signataire des comptes bancaires de CONNECTIC –  Les 72 ordres de virement ont été établis sur une période s’étalant sur quatre années, de 2009 à 2012 pour acheter des équipements CISCO SYSTEMS en France que RANARISON Tsilavo a attesté la réception par un email récapitulatif gmail du 25  d’avril 2012 authentifié par un huissier tant à Madagascar qu’en France .

De 2009 à 2012, sur quatre années, RANARISON Tsilavo a signé 76 ordres de virements internationaux et a établi lui-même les 76 factures  de la société EMERGENT à CONNECTIC . RANARISON Tsilavo ne s’est donc aperçu qu’en juillet 2015 de ces anomalies qui ont duré près de quatre années et dont il est le principal acteur (il est la seule personne à avoir le pouvoir de signature des comptes bancaires de la société).

Les 76 factures de la société française EMERGENT ont été toutes établies par RANARISON Tsilavo chez CONNECTIC à Madagascar

Car toutes les factures de la société EMERGENT pour CONNECTIC sont établies à Madagascar par RANARISON Tsilavo lui même. En aucun moment dans toute la procédure, personne n’a pu désigner Solo comme celui qui a établi les factures de EMERGENT à CONNECTIC.

Ainsi, la première facture  de EMERGENT  établie par RANARISON Tsilavo a pour objet IOS (licence CISCO SYSTEMS) et c’est RANARISON Tsilavo qui le dit dans son email du 3 mars 2009

Telle cette facture établie le 3 mars 2009 pour 20 000 € d’IOS.
L’IOS est la fameuse licence pour téléchargement de logiciels de CISCO SYSTEMS qu’il évoque dans sa plainte du 20 juillet 2015. L’auteur des factures est sans équivoque : RANARISON Tsilavo, puisqu’il dit lui même «  je fais la facture de suite, 20 000 € de IOS« .

La société CISCO SYSTEMS qui a établi une attestation en faveur de RANARISON Tsilavo le 23 novembre 2013 appréciera et le magistrat qui a rédigé l’arrêt de la Cour d’Appel du 13 mai 2016 qui a condamné Solo appréciera également.

RANARISON Tsilavo et son équipe à Madagascar a établi toutes les factures au nom de la société EMERGENT permettant de faire virer de l’argent. Ces virements ont tous une contrepartie.

L’extrait de la plainte avec demande d’arrestation de RANARISON Tsilavo du 20 juillet 2015 est  la suivante :

La plainte de RANARISON Tsilavo est basée sur la notion d’abus de biens sociaux effectués par Solo, son ancien patron car semble-il, il n’y a pas de contrepartie sur les virements internationaux dont RANARISON Tsilavo est lui-même le seul signataire des ordre de virements qu’il a envoyé  à la société EMERGENT. Oui, les 72 virements supposés illicites ont été tous approuvés par RANARISON Tsilavo en signant les ordres de virement bancaire qui doivent tous être accompagnés de la facture EMERGENT correspondante.

Avec l’aide du Procureur Général près de la Cour d’Appel d’Antananarivo qui a traité directement le dossier, RANARISON Tsilavo a réussi mettre Solo en prison pendant 5 mois peut être pour qu’il ne puisse pas se défendre.

La Cour Suprême de Madagascar  a émis pour cela un pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) le 20 septembre 2016 pour les raisons suivantes :

 

puisque les virements internationaux ont servi à la société française EMERGENT d’acheter les équipements vendus à Madagascar par la société CONNECTIC. R

RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE a lui même confirmé dans un email daté du 25 avril 2012 la valeur des équivalents envoyés qu s »élèvent à  1.361.125 USD (359.223,52 + 510.282,85 + 491.615,31) et 297.032 Euros (18.886,30 + 128.972,83 + 149.173,80)  qui donnent un équivalent en Ariary de 3.924.041.500 Ariary, RANARISON-Tsilavo-reconnait-que-Solo-a-envoyé-des-équipements-à-Madagascar

L’appauvrissement observé chez CONNECTIC est  justifié par une dette existante et/ou par une prestation fournie par la société bénéficiaire, EMERGENT. Solo gérant de EMERGENT n’avait pas le d’un intérêt personnel direct ou indirect, dans le règlement de ces fausses factures (cass crim 1er mars 2000, n°98-86353) car elle a servi à régler les dettes de CONNECTIC. La mise en oeuvre d’un intérêt et d’une politique de groupe ne permet pas seulement d’établir l’existence d’un groupe. Elle sert aussi d’apprécier un flux financier de façon à déterminer s’il s’inscrit dans cet intérêt et cette politique.

Quant aux factures qui seraient arguées de faux, elles sont l’oeuvre de RANARISON Tsilavo lui même 

Le Procureur Général de la Cour Suprême le dit dans son Pourvoi dans l’intérêt de la loi que c’est RANARISON Tsilavo lui même qui est l’auteur des factures qu’il considère comme faux.

Bahemia Faizal est le  Responsable de WESTCON AFRICA COMSTOR , grossiste CISCO SYSTEMS  chez qui EMERGENT  achète les produits CISCO  pour Madagascar

 

 

 

C’est RANARISON Tsilavo, directeur éxecutic de CONNECTIC  lui-même qui le dit dans cet e-mail envoyé à Faizal BAHEMIA, le directeur territorial de WESTCON AFRICA COMSTOR le 4 mars 2009 :

Ainsi, on vous propose la seule solution possible.
On vous paie depuis notre  maison mère en France : EMERGENT  NETWORK SYSTEMS suivant le planning suivant :
– 50.000 USD par avance cette semaine, et
– Le solde 71 000 USD dans deux semaines (avant votre shipment),
> Par contre, vous devriez émettre une facture au nom de EMERGENT NETWORK SYSTEMS au lieu de CONNECTIC
E-mail de RANARISON Tsilavo du 5 mars 2009 envoyé à Faizal BAHEMIA grossiste CISCO

C’est clair et net, ce que dit RANARISON Tsilavo :  » Par contre, vous devriez émettre une facture au nom de EMERGENT  au lieu de CONNECTIC »

WESTCON AFRICA COMSTOR doit donc facturer la société EMERGENT au lieu de CONNECTIC pour les matériels destinés à la société CONNECTIC. Et c’est le schéma qui a été adopté à partir du mois de mars 2009.

On constate que :

  1. la société qui facture est Westcon Africa (UK) Ltd
  2. l’adresse de facturation (Invoice address) : Emergent Network Systems à Courcouronnes en France
  3. l’adresse d’envoi (Shipping address) : Connectic Madagascar c/o Midex Orly Fret 94548 Orly aérogare – France, c’est l’adresse du transitaire chargé d’envoyer les produits achetés par EMERGENT à WESTCON
  4. Ce sont bien des produits CISCO qui on été vendus par WESTCON Africa, le grossiste agrée de la société CISCO Systems. Et il l’a vendu à EMEGENT qui a demandé à WESTCON de mettre comme adresse de destination CONNECTIC Madagascar.

On s’en souvient que RANARISON Tsilavo a dit que la société CISCO n’est même pas autorisé à vendre des produits CISCO à Madagascar mais dans tous les cas le grossiste de CISCO WESTCON lui a vendu des matériels et des logiciels. Les dits matériels et logiciels ont été livrés chez le transitaire MIDEX et inscrits comme adresse de livraison CONNECTIC Madagascar et adresse de facturation EMERGENT NETWORK en France.

Le magistrat de la Cour d’Appel d’Antananarivo appréciera la dénaturation d’un écrit dans son arrêt d’autant plus que c’est connu par tous que la vente des produits CISCO est libre, tout le monde peut vendre des produits CISCO.

 

Si vous souhaitez acheter du matériel Cisco, de nombreuses options s’offrent à vous. Vous pouvez acheter du matériel directement auprès de Cisco ou auprès des revendeurs certifiés Cisco. Vous avez également le choix entre du matériel nouveau ou d’occasion. Le matériel Cisco peut être revendu ou loué librement
https://www.cisco.com/c/fr_ca/products/warranty-listing/hw-sw-relicensing-program-fr.html

Les factures WESTCON Africa facturées à EMERGENT NETWORK et livrées à CONNECTIC

 

RANARISON Tsilavo est le seul signataire des ordres de virement de CONNECTIC pour EMERGENT comme le montre les attestations bancaires 

Le seul et l’unique signataire des comptes bancaires de CONNECTIC qui ont servi à effectuer près de 72 virements internationaux vers la société française EMERGENT est RANARISON Tsilavo attestation-tsilavo-signataire-de-tous-les-comptes et un virement international ne peut se faire sans une facture de EMERGENT établie à Madagascar chez CONNECTIC.NEXTHOPE RANARISON est le seul signataire du compte bancaire de CONNECTIC chez BMOI
NEXTHOPE RANARISON est le seul signataire du compte bancaire de CONNECTIC chez BNI
NEXTHOPE RANARISON est le seul signataire du compte bancaire de CONNECTIC chez BOA

Une pièce d’anthologie pour les trois premiers virements à EMERGENT initiés par RANARISON Tsilavo lui-même

Les virements internationaux  envoyés par CONNECTIC à EMERGENT NETWORK SYSTEMS servent à payer les achats effectués par CONNECTIC à l’étranger. Dans la liste des factures envoyées à CISCO et annexée dans sa plainte avec demande d’arrestation , on trouve les trois premiers virements envoyés à EMERGENT au mois de mars 2009, d’un montant global de $130.485 soit l’équivalent de 253.984.143 Ariary, d’après les avis de débit des banques.

  • Virement du 11/03/3009 de BNI d’un montant de $37.245 (72.695.163 Ariary),
  • Virement du 11/03/2009 de BOA d’un montant de $66.740 (130.276.480 Ariary),
  • Virement du 17/03/2009 de BOA d’un montant de $26.500 (51.012.500 Ariary),
  • Soit un total de virements reçus par EMERGENT venant de CONNECTIC de 130.485 USD

Ce sont les trois premiers virements envoyés par la société CONNECTIC à EMERGENT et l’image ci-dessous est la lettre envoyée par RANARISON Tsilavo à la société CISCO SYSTEMS le 7 novembre 2013 et a été annexée à sa plainte (pièce 07). La lettre  atteste que les virements du mois de mars 2009 ( deux virements du 11 mars 2009 et un  virement du 17 mars 2009)  font partie des virements internationaux que RANARISON Tsilavo considèrent comme illicites. Les trois virements ont été signés par RANARISON Tsilavo lui même.

CONNECTIC a émis pour 130.485 USD de virements à la société française EMERGENT et en contrepartie a reçu pour 121.759,77 USD de produits de marque CISCO facturés par  le grossiste WESTCON

Lorsque on consulte en ligne l’état des comptes de la société EMERGENT de la Banque Populaire, on a les trois virements reçus de CONNECTIC par EMERGENT et au débit les deux virements qui ont été envoyés à la société WESTCON pour régler les matériels.

Les trois virements ont permis de régler les deux factures de WESTCON

LES REGLES DE DROIT SUR LES ABUS DE BIEN SOCIAUX

D’après l’article 931 LOI N° 2003-036 Sur les Sociétés Commerciales,  « le gérant de la société à responsabilité limitée, les administrateurs, le président directeur général, le directeur général, l’administrateur général ou l’administrateur général adjoint qui, de mauvaise foi, font des biens ou du crédit de la société, un usage qu’ils savaient contraire à l’intérêt de celle-ci, à des fins personnelles, matérielles ou morales, ou pour favoriser une autre personne morale dans laquelle ils étaient intéressés, directement ou indirectement. »

On va se référer au livre écrit par le Professeur RAKOTOMANANA Honoré, Magistrat honoraire, Professeur de droit, Droit pénal malgache des affaires, Edition 2003, Jurid’ika  page 168 et suivants.

Pour qu’il y ait abus des biens sociaux, il faut d’une part que le dirigeant ait fait usage des biens ou du crédit de la société et, d’autre part, qu’il s’agisse d’un usage contraire à l’intérêt social. L’intérêt à prendre en considération est celui de la société et non celui des associés, lequel peut être distinct de celui de la société.

D’après toujours, le Professeur RAKOTOMANANA Honoré,

la jurisprudence admet que l’abus des biens sociaux peut disparaître aux conditions qu’elle pose : il faut que le concours financier soit dicté par un intérêt économique, social et financier commun, apprécié au regard d’une politique élaborée pour l’ensemble du groupe : le concours financier ne doit pas être sans contrepartie.

Le Professeur RAKOTOMANANA Honoré poursuit :

 » Evidemment, pour que le délit soit caractérisé, le texte exige expressément l’existence de la mauvaise foi ; d’une part, le mandataire social doit avoir agi sciemment ne pouvant douter  que l’acte auquel il se livrait fût contraire aux intérêts de la société ; d’autre part, il a dû savoir que du fait de l’opération , la société subirait ou pouvait subir un préjudice. L’élément moral est double : la mauvaise foi de l’auteur de l’abus, et un dol spécial relatif à la poursuite à des fins personnelles.

 

http://spoliation.org/nexthope-ranarison-tsilavo-accuse-abus-des-biens-sociaux-connectic/
RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites internet de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON Tsilavo en toile de fond  — diffamer —

Les magistrats qui ont violé les lois malgaches au bénéfice de RANARISON Tsilavo, simple associé, qui s’est vu attribué 1.500.000.000 (un milliard cinq cent millions ) Ariary d’intérêts civils. Solo a été condamné également  à deux ans de prison avec sursis.

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

L’arrêt de la cour de cassation à Madagascar viole les lois malgaches :

  • en attribuant les intérêts civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, au lieu et à la place de la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux.
  • en acceptant que la cour d’appel viole l’article 2 de la Loi sur la concurrence dans sa motivation.

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les textes de lois applicables à Madagascar qui ont été  violé par les magistrats malgaches pour condamner Solo à deux ans de prison avec sursis et attribuer 1.500.000.000 (un milliard cinq cents millions) Ariary équivalent de 428.492 euros d’intérets civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle.

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

 

Les photos de l’expulsion de Solo suite à l’attribution des biens immobiliers de RANARISON Tsilavo à Solo

Les emails présentés ont été authentifiés par un huissier selon les règles de l’art

Les constats d’hussier des emails émis par Solo ont été effectués selon les règles de l’art.

 

 
RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites internet de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON Tsilavo en toile de fond  — diffamer —

Les magistrats qui ont violé les lois malgaches au bénéfice de RANARISON Tsilavo, simple associé, qui s’est vu attribué 1.500.000.000 (un milliard cinq cent millions ) Ariary d’intérêts civils. Solo a été condamné également  à deux ans de prison avec sursis.

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

L’arrêt de la cour de cassation à Madagascar viole les lois malgaches :

  • en attribuant les intérêts civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, au lieu et à la place de la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux.
  • en acceptant que la cour d’appel viole l’article 2 de la Loi sur la concurrence dans sa motivation.

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les textes de lois applicables à Madagascar qui ont été  violé par les magistrats malgaches pour condamner Solo à deux ans de prison avec sursis et attribuer 1.500.000.000 (un milliard cinq cents millions) Ariary équivalent de 428.492 euros d’intérets civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle.

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

 

Les photos de l’expulsion de Solo suite à l’attribution des biens immobiliers de RANARISON Tsilavo à Solo

C’est au ministère public de prouver que les trois éléments constitutifs de l’infraction d’abus de biens sociaux sont réunis

En matière pénale et plus particulièrement sur l’infraction d’abus de biens sociaux (ABS),  c’est au Ministère public de prouver que les ABS ont été commis dans l’intérêt personnel du dirigeant.

D’après Wikipédia, pour qu’une infraction soit reconnue, il faut que trois éléments constitutifs soient réunis, à savoir :

  • l’élément légal, c’est l’article qui régit l’infraction. Il n’y a pas d’infraction qui ne soit punie par la loi.
  • l’élément matériel, l’infraction doit être matérialisée par un ou plusieurs actes exécutés par son auteur (ex : un coup de poing pour des violences), ou par sa mise en œuvre pour les infractions formelles.
  • l’élément moral, l’infraction doit être le résultat de l’intention coupable de son auteur ou d’une faute d’un auteur conscient de ses actes.

C’est donc au Ministère public d’apporter les preuves des trois éléments constitutifs de l’infraction, l’infraction d’abus de biens sociaux (ABS) dans cette affaire de plainte avec demande d’arrestation déposée par RANARISON Tsilavo à l’encontre de son ancien associé Solo.

Le Procureur Général  près de la Cour Suprême de Madagascar le clame haut et fort dans son pourvoi de l’intérêt de la loi du 20 septembre 2016 qu’  » il est de principe que la culpabilité doit être fondée sur les éléments de preuve concrets justifiant l’élément matériel et l’élément moral constitutifs de l’infraction » . Dans le dossier de Solo qui a été condamner à payer 1.500.000.000  (un milliard cinq cent millions) ariary de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, il semble que les préceptes élémentaires de bonne justice n’ont pas été suivis.

3ème En ce que l’arrêt attaqué a confirmé la culpabilité du prévenu et de l’avoir condamné au paiement des dommages intérêts d’un milliard cinq cent millions d’ariary
Alors que  aucun élément de preuve correct n’a été relevé justifiant sa culpabilité ainsi qu’à l’évaluation du préjudice correspondant au montant de la somme prononcée.
Discussion : Sur le point relatif à la culpabilité du prévenu d’avoir commis les infractions à lui reproché, il est de principe que la culpabilité doit être fondée sur les éléments de preuve concrets justifiant l’élément matériel et l’élément moral constitutifs de l’infraction
– Conclusions :
De tout ce qui précède, il est reproché à l’arrêt n°500 du 13 mai 2016 rendu par la Chambre Correctionnelle de la Cour d’Appel d’Antananarivo d’avoir méconnu les préceptes généraux de justice et les principes équitables que comportent nécessairement les dispositions légales servant de justification objective à la décision incriminée.

Pourvoi dans l’intérêt de la loi du Procureur Général près de la Cour Suprême de Madagascar  (20 septembre 2016)

 

 

Il n’y a pas donc d’ambiguïté,  » la culpabilité doit être fondée sur les éléments de preuve concrets justifiant l’élément matériel et l’élément moral constitutifs de l’infraction ».

On ne peut pas condamner sans la réunion des trois éléments constitutifs

Pour prouver ce que dit le Procureur général près de la Cour Suprême de Madagascar, nous avons consulté la littérature disponible sur l’abus des biens sociaux.

Les charges de la preuve en matière d’abus de biens sociaux d’après Annie Médina, Abus des biens sociaux, Editions Dalloz (2001)

Dans le procès pénal, le magistrat du parquet ou le juge d’instruction doivent apporter la preuve de tous les éléments constitutifs de l’infraction, à savoir

  • l’élément légal,
  • l’élément matériel
  • et l’élément moral.

En matière pénale, le Ministère public doit faire la preuve de l’infraction, c’est à dire non seulement de l’élément matériel et moral mais également du texte sur lequel se fondent les poursuites.

la preuve de l’élément matériel

La preuve du dol spécial est appréciée souverainement par les juges du fond mais cet élément de l’infraction doit être établi par eux sous le contrôle de la Cour de cassation. Ainsi, dans un arrêt de la juridiction suprême qui a cassé une décision de la cour d’appel d’Aix en provence pour n’avoir pas précisé « si les recettes non représentées avaient été utilisées de mauvaise foi par le prévenu à des fins personnelles et dans un intérêt contraire à celui de la société. »

Lorsque la preuve du caractère contraire à l’intérêt social de l’acte ne peut être rapporté, celle de la poursuite de fins personnelles ne le sera pas non plus.

la preuve de la mauvaise foi dans le délit d’abus de biens sociaux

Dans ce domaine comme dans les autres, il appartient au Ministère public de rapporter la preuve de la mauvaise foi du prévenu sous peine de sanctionner non pas la mauvaise foi mais l’impéritie (ignorance, incapacité, incompétence, inexpérience, inhabileté, insuffisance)

 

C’est clair et net :  » Il n’y a point de crime ou de délit sans intention de le commettre« .

 

Les charges de la preuve en matière d’abus de biens sociaux d’après Francis  Lefebvre, Abus de biens sociaux, Editions Francis Lefebvre (2016)

2. Preuve
C’est au ministère public qu’il incombe de prouver  que les abus ont été commis dans l’intérêt personnel du dirigeant…
… Toutefois, lorsque des fonds ont été prélevés de manière occulte, l’intérêt personnel du dirigeant est présumé et il lui appartient alors d’établir que les fonds ont été utilisé dans le seul intérêt de la société.
Francis  Lefebvre, Abus de biens sociaux, Editions Francis Lefebvre (2016)

Dans notre cas, les 72 ordres de virements internationaux ont été tous signés par RANARISON Tsilavo lui-même. les fonds n’ont pas été donc prélevés de façon occulte mais par le plaignant lui-même et donc c’est au ministère public qu’il incombe de prouver  que les abus ont été commis dans l’intérêt personnel du dirigeant..

Les charges de la preuve en matière d’abus de biens sociaux d’après Eva JOLY et Caroline JOLY-BAUMGARTNER, L’abus des biens sociaux à l’épreuve de la pratique, Editions Economica, Paris, 2002

Nécessaire constatation du dol spécial
– Caractérisation du dol spécial
Le dol spécial doit être établi  par les juges du fond. A défaut, l’infraction ne saurait être considérée comme constituée.
Dans la plupart des cas, l’intérêt personnel se déduit clairement des faits de la cause. C’est le cas notamment dès que le dirigeant prélève des fonds dans la caisse sociale afin de financer des dépenses personnelles. L’avantage recherché par le dirigeant est alors évident : économiser ses propres deniers au détriment de ceux de la société qu’il dirige…
– Caractère déterminant
Les juges peuvent considérer que les fins personnelles ne sont pas suffisamment caractérisées lorsqu’elles n’ont pas été l’élément déterminant de l’utilisation des fonds sociaux

Le dol spécial, même très largement entendu, doit être prouvé par l’accusation. c’est donc au ministère public qu’i appartient de prouver que les abus ont été commis dans l’intérêt personne du dirigeant.
Eva JOLY et Caroline JOLY-BAUMGARTNER, L’abus des biens sociaux à l’épreuve de la pratique, Editions Economica, Paris, 2002

Dans notre cas, les  72 virements internationaux par CONNECTIC à la société française EMERGENT ont  été envoyé par RANARISON Tsilavo lui-même au vu et au su de tous et actés dans l’intranet de la société CONNECTIC. Ils ne sont pas du tout prélevés de manière occulte et pour les trois premiers par exemple, c’est RANARISON Tsilavo lui même qui a assuré la bonne fin de l’opération.

Pour aller plus loin :
Dossier 35 – Les trois premiers virements de CONNECTIC pour EMERGENT ont été établis par RANARISON Tsilavo pour payer WESTCON par l’intermédiaire de EMERGENT,

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

RANARISON Tsilavo dit qu’on peut modifier un email gmail si on a le mot de passe

Le plumitif est la prise de note effectuée par le greffier pendant le procès de Solo, le propriétaire de la société CONNECTIC. Le 8 décembre 2015 devant la barre du tribunal correctionnel d’Antananarivo, RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, ancien directeur exécutif de CONNECIC jusu’en septembre 2012 affirme :

– Possible tsara ny fanovana contenu e-mail raha fantatra ny mot de passe
– i P no mi gérer ny domaine e-mail n’i Sté

il est possible de modifier le contenu d’un e-mail une fois qu’on connait le mot de passe,
P (Solo) est le gestionnaire du domaine e-mail de la société (CONNECTIC) »

Extrait du plumitif lors du procès de Solo le 8 décembre 2015. C’est RANARISON Tsilavo qui a déposé ces affirmations à la barre.

Le but de RANARISON Tsilavo est faire croire à l’auditoire que toutes les preuves basées sur de l’email n’est pas crédible. En effet, comme Solo gère de loin la société CONNECTIC, tout ce qui est dit et se fait dans la société est consigné par écrit et envoyé par e-mail. Il a donc peur d’être démasqué au plus vite, car tout ce qu’il dit et affirme sont  basés sur du mensonge et de la complaisance de la justice.

Les emails produits par Solo pour prouver sa bonne foi peuvent donc être trafiqués d’après le dire de RANARISON Tsilavo. Comment ? en les modifiant tout simplement, après avoir entré le nom d’utilisateur et le mot de passe, on peut donc changer le contenu d’un email que l’on consulte chez Gmail, en ligne. RANARISON Tsilavo a pris soin de boucler de suite Solo à la prison d’Antanimora pour qu’il ne puisse pas se défendre.

Devant le juge d’instruction, le 3 septembre 2015, RANARISON Tsilavo gérant fondateur de la société NEXTHOPE (Intégrateur CISCO SYSTEMS, ODOO, VMWAre) depuis novembre 2012 a véhiculé le même mensonge. Pour un supposé gourou du web à Madagascar, ça fait un peu désordre.

F.V : I Atoa Solo  no mi géré  ny compte e mail ao amin’ny sté connectic hatramin’izao fa mety misy manipulation ataony  ka azony ataony  ny mamoaka e mail atao hoe nosoratako amin’ny anarako

QR : C’est Mr Solo qui gère jusqu’à ce jour les comptes email de la société Connectic. Il pourrait avoir recouru à des manipulations pour envoyer des e mails supposé rédigés par ma personne et en mon nom.

Extrait de  la déclaration RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, devant le juge d’instruction le 3 septembre 2015, traduit par traducteur assermenté auprès des tribunaux.

Malheureusement pour lui, le serveur de messagerie (qui gère les e-mails) de la société CONNECTIC est géré par la société GOOGLE, Gmail for work. Et on a eu la réponse de GOOGLE qui dit qu’un message envoyé ne peut pas être modifié. RANARISON Tsilavo sait très bien aussi que c’est GOOGLE qui gère la messagerie de CONNECTIC. Mais plus le mensonge est gros, plus ça risque de passer puisque RANARISON Tsilavo est tout de même le gérant fondateur d d’une entreprise dans la technologie d’information à Madagascar, la société NEXTHOPE.

Sur gmail, on ne peut que transférer ou effacer un message qu’on a reçu contrairement à la légende colportée par RANARISON Tsilavo

Lors du procès du 8 décembre 2015, RANARISON Tsilavo dit qu’il est possible de modifier le contenu d’un e-mail une fois qu’on connait le mot de passe

D’après l’extrait de ce plumitif , signé et daté par le greffier, on a le compte rendu complet du procès qui s’est tenu le 8 décembre 2015. RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE n’a sorti que des mensonges. Parmi ceux-ci :

-Possible tsara ny hanovana contenu e-mail raha fantatra ny mot de passe,
-i P no migerer ny domain e-mail n’i sté

RANARISON Tsilavo peut raconter des bobards aux prospects et clients des datacenters à base de CISCO, VMWARE, ODOO et HP à Madagascar mais les faits sont têtus. Les emails lorsqu’ils ont été envoyés ne peuvent pas être modifiés. Essayez de modifier en ligne un email en ligne sur webmail et vous êtes fixé. Seul le brouillon, c’est à dire un email non encore envoyé peut être modifié.

Il se peut que RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar, a confondu un brouillon d’un email définitif.

RANARISON Tsilavo affirme devant le juge d’instruction le 3 septembre 2015 que Solo peut faire de la manipulation des e-mails gmail

RANARISON Tsilavo affirme devant le juge d’instruction :

C’est Mr Solo qui gère jusqu’à ce jour les comptes email de la société CONNECTIC. Il pourrait avoir recouru à des manipulations pour envoyer des e-mails supposés par ma personne et en mon nom

F.V I Mr Solo no mi-géré ny compte e mail ao amin’ny Sté connectic hatramin’izao ka mety hisy manipulation ataony ka azony ataony ny mamaoka e mail atao hoe nosoratako amin’ny anarako.

RANARISON Tsilavo qui se targue d’être un grand manitou du CLOUD  (VMWARE, ODOO, Datacenter, etc) ne peut pas ignorer que le serveur d’emails de CONNECTIC sont dans le CLOUD  et est hébergé par GOOGLE dans le cadre de l’offre GOOGLE for Work

Google for Work is a service from Google that provides customizable enterprise versions of several Google products using a domain name provided by the customer. It features several Web applications with similar functionality to traditional office suites, including Gmail,

Le serveur email de CONNECTIC est donc hébergé par GOOGLE.

On a posé la question à GOOGLE si on peut modifier un message hébergé dans gmail. La réponse est bien sûr : NON. Un message Gmail ne peut être que transféré ou effacé. Mais que ne dit pas RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012 pour emprisonner son ancien patron et essayer de gagner de dommages et intérêts, non content d’avoir déjà pu emprisonner Solo pendant 5 mois à Antanimora.

Mais comme le dit Solo, « je considère cet emprisonnement comme un trophée ». Incroyable mais vrai, Solo a osé dire ça devant la Cour lorsqu’on lui a demandé le dernier mot à la fin du procès.

 

La question à Google : Peut on modifier le contenu d’un email qui se trouve dans le serveur Gmail ?

Bonjour
Gmail consulté par webmail
Lors d’un procès en cours à Madagascar,  un ingénieur informaticien dit qu’on peut consulter ou  transférer ou supprimer un email qui se trouve dans un serveur gmail.
Un huissier de justice à qui on donne le nom d’utilisateur et mot de passe ne peut donc  faire que la consultation, le transfert et la suppression de chaque message sur le compte gmail en mode consultation en ligne par webmail.
Il ne peut en aucun cas faire une modification du contenu, tout en conservant la date et l’heure ainsi que les destinataires.
La partie adverse, directeur d’une entreprise TIC à Madagascar,  soutient qu’on peut modifier un email moyennant un savoir faire.
Questions :
1 – qui doit on contacter pour avoir la position officielle de google sur la possibilité de modifier un email hebergé chez gmail dans le cadre des goole/apps ?
Un email de preuves qu’un huissier va constater avec le nom d’utilisateur et le mot de passe a t-il pu faire l’objet d’une modification ?
2 – Pensez vous que la partie adverse a raison et qu’il ne s’agit pas d’intox
cordialement

Un expert de google a répondu : Les messages gmail envoyés ou reçus ne sont pas modifiables

∙•●Eric31●•∙ a dit :

Bonjour Solo,

Sur le serveur Gmail :
  • Les seuls messages modifiables sont les brouillons.
  • Les message envoyés ou reçus ne sont pas modifiables.
Ne vous laissez pas abuser par un bidouilleur qui modifie le message sur son PC : un simple traitement de texte permet d’écrire n’importe quoi…
J’ai aussi déjà vu un soit-disant message transféré qui n’était qu’un faux. Seul le message original fait foi.

Réponse officielle de Google certifié par un huissier

06/01/16 à 11:01 AM
Bonjour,
Je suis Thomas du support technique Google for Work. J’étais ravi de vous

Un but personnel recherché par Solo dans l’envoi des 76 virements internationaux par CONNECTIC à EMERGENT

Pour qu’un dirigeant d’entreprise puisse être poursuivi de l’infraction pour abus des biens sociaux. Les dirigeants doivent avoir agi à des fins personnelles ou pour favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils étaient intéressés directement ou indirectement

 

« L’usage des biens ou du crédit de la société par le dirigeant n’est constitutif du délit d’abus de biens sociaux que s’il est contraire à l’intérêt de la société  d’une part et s’il est fait dans un but personnel d’autre part. Il faut donc garder à l’esprit que l’usage des biens de la société est  un élément indissociable de la notion d’intérêt social et du but personnel  poursuivi par l’auteur de l’acte. »

Annie MEDINA, Abus des biens sociaux, Prévention – Détection – Poursuite, Editions Dalloz, Paris,2001

Alors que le dol général peut être assimilé à l’intention de commettre une infraction, le dol spécial constitue « le mobile » de cette intention : c’est le but personnel.

Il faut toutefois rappeler que le dirigeant qui par sa gestion de la société, favorise une entreprise dans laquelle il y a un intérêt ne commet pas systématiquement un abus de bien social.
Il faut que l’acte de gestion litigieux soit contraire à l’intérêt social.(Francis  Lefebvre, Abus de biens sociaux, Editions Francis Lefebvre (2016))

Les dirigeants doit avoir agi à des fins personnelles pour favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils étaient intéressés directement ou indirectement.
Il faut toutefois rappeler que le dirigeant qui, par sa gestion de la société, favorise une entreprise dans laquelle il a un intérêt ne commet pas systématiquement un abus de bien social. Il faut que l’acte de gestion litigieux soit contraire à l’intérêt social.
Il y a usage contraire à l’intérêt social lorsque le dirigeant porte atteinte au patrimoine de la société.
Francis  Lefebvre, Abus de biens sociaux, Editions Francis Lefebvre (2016)

Les 72 virements internationaux envoyés par CONNECTIC à EMERGENT ont en contrepartie la réception des équipements

RANARISON Tsilavo, CEO de NEXTHOPE depuis novembre 2012,  lui même  reconnaît que la société EMERGENT a envoyé des équipements à la société CONNECTIC à Madagascar par son email du 24 avril 2012 authentifié par des huissiers tant à Madagascar qu’en France.

Il n’y a donc pas de but personnel recherché par le dirigeant, l’élément constitutif de l’infraction d’abus de biens sociaux n’est pas prouvé.

RANARISON Tsilavo écrit à WESTCON Africa dans un email du 4 mars 2009 que EMERGENT est la maison mère de CONNECTIC et que les factures sont à mettre au nom de EMERGENT

Dans un email daté du 4 mars 2009 qui a été certifié par des huissiers tant à Madagascar qu’en France, RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE ne peut pas mentir d’avantage à qui veut l’entendre l’existence de la société EMERGENT qu’il considère même comme la société mère de CONNECTIC et qui va effectuer de règlements pour payer les dettes de CONNECTIC chez WESTCON Africa.

Dans cet email, RANARISON Tsilavo fait allusion au deal BMOI de  $ 121.000 qui sera bloqué sans l’intervention de la maison mère de CONNECTIC qu’est la société EMERGENT qui va payer le montant correspondant.

Il est dit également dans cet email du 4 mars 2009 de RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar,  que la facture doit être au nom de EMERGENT au lieu de CONNECTIC. 

Le 23 mars 2009, le fournisseur en équipement CISCO SYSTEMS de la société CONNECTIC dit qu’il n’y aura pas d’envoi de marchandises sans un règlement en totalité de la facture.

Pour aller plus loin :
– 35-2 EMERGENT doit payer les factures dues avant que WESTCON Africa livrent les équipements CISCO SYSTEMS
35-3 RANARISON Tsilavo dit à WESTCON que la maison mère de CONNECTIC va effectuer le règlement. Et la maison mère n’est autre que EMERGENT

Conclusion : l’envoi des 72 virements internationaux de CONNECTIC à la société française EMERGENT n’est pas dicté par un intérêt personnel de Solo

Non seulement les 72 ordres de virements internationaux ont été signés par RANARISON Tsilavo lui-même et en plus, il a reconnu lui même par un email récapitulatif du 24 avril 2012 avoir reçu de la société EMERGENT des équipements.

Par cet email du 4 mars 2009, signé par RANARISON Tsilavo, il reconnaît le rôle primordial de la société EMERGENT dans la bonne marche de la société CONNECTIC.

Cet extrait de la déposition de RANARISON Tsilavo  auprès du juge d’instruction, le 3 septembre 2015,  est une pépite du genre dans la mauvaise foi car elle est contredite par l’email du 4 mars 2009. On a reproduit la version originale signée de cette interrogatoire

La version française de cette déposition est la suivante :

Q.R  : selon Mr Solo c’est moi qui l’ai incité à créer cette société Emergent, ce qui n’est pas vrai.

Q.R : à moins qu’elle ne soit inscrite sous nos deux noms, je ne trouve aucun avantage à l’inciter à créer pour lui même cette société.

QR : C’est Mr Solo qui gère jusqu’à ce jour les comptes email de la société Connectic. Il pourrait avoir recouru à des manipulations pour envoyer des e mails supposés rédigés par ma personne et en mon nom

On comprend mieux maintenant pourquoi on a bloqué Solo à la prison d’Antanimora pour qu’il ne puisse pas se défendre en apportant les preuves.

Un usage contraire à l’objet social de l’envoi des 76 virements internationaux par CONNECTIC à EMERGENT

L’élément constitutif de l’usage contraire à l’intérêt social

La loi sanctionne les dirigeants ayant, notamment, fait des biens de la société un usage qu’ils savent « contraire à l’intérêt de celle-ci ». L’acte doit donc être, pour pouvoir être réprimé, contraire à l’intérêt social.

« L’usage des biens ou du crédit de la société par le dirigeant n’est constitutif du délit d’abus de biens sociaux que s’il est contraire à l’intérêt de la société d’une part et s’il est fait dans un but personnel d’autre part. Il faut donc garder à l’esprit que l’usage des biens de la société est un élément indissociable de la notion d’intérêt social et du but personnel poursuivi par l’auteur de l’acte. »

Annie MEDINA, Abus des biens sociaux, Prévention – Détection – Poursuite, Editions Dalloz, Paris,2001

Qu’est ce qu’un acte conforme à l’intérêt social ?

L’objet social peut être défini comme l’ensemble des activités déterminées par le pacte social, que la société peut exercer.
Il s’agira d’un acte entrant dans l’objet social tel qu’il est défini dans les statuts.

ARTICLE DEUX 
OBJET

Cette société a pour objet,
Toutes les opérations ayant trait à la fourniture de biens et services liés à l’informatique, l’électronique et la télécommunication ainsi que  les opérations industrielles, agricoles, commerciales, artisanales, financières, mobilières ou immobilières pouvant se rattacher directement ou indirectement aux produits  précités et tous objets similaires ou connexes.

Les 72 virements internationaux envoyés par CONNECTIC  à EMERGENT ont permis d’acquérir des équipements nécessaires à CONNECTIC : il entre donc dans l’intérêt social de l’entreprise.

D’après J. Lasserre-Capdeville, « Abus de biens sociaux et banqueroute », Joly éd. coll. Pratique des affaire (2010), les magistrats rechercheront à qui a profité l’acte et le replaceront dans son contexte industriel et commercial, afin de l’examiner tant au regard du préjudice qu’il cause ou qu’il risque de faire supporter à la société que des avantages que cette même société peut en attendre.
Il découle de la jurisprudence de la Cour de cassation que les décisions de condamnation des juges du fond doivent préciser que l’usage reproché au prévenu a été contraire à l’intérêt social. A défaut, la cassation de l’arrêt est encourue.

Indifférence du préjudice patrimonial

Le délit d’abus de biens sociaux porte généralement atteinte au patrimoine social. Les actes sanctionnés auront en effet, le plus souvent, occasionné un préjudice à la société qui aura vu, par exemple, une partie des fonds sociaux détournée par le dirigeant dans son intérêt personnel. L’ABS peut être ainsi retenu lorsque le patrimoine de la société subi une atteinte sans contrepartie.

L’infraction est ainsi constituée chaque fois que l’appauvrissement observé d’une société, au bénéfice d’une autre, n’est pas justifié par une dette existante ou une contrepartie. Pour la jurisprudence, il y ainsi abus de biens sociaux pour un dirigeant :

  • à faire payer une dette d’une autre société dans laquelle il a des intérêts;
  • à faire payer par une société une somme d’argent  au bénéfice d’une autre dont il est également gérant de fait, pour des commandes non livrées;
  • ou encore à faire subventionner, sans contrepartie, une autre société, dans laquelle il a des intérêts.

Usage des biens

Les abus de biens sociaux impliquent un impact immédiat sur le patrimoine de l’entreprise, qui peut résulter d’un usage des biens sans contrepartie suffisante ou d’une contrepartie comportant un risque anormal pou l’entreprise

Usage des biens sans contrepartie suffisante : appauvrissement immédiat

L’absence de contrepartie suffisante peut se décliner de plusieurs manières : le plus souvent, la société subit un appauvrissement immédiat.

Il en est ainsi, par exemple, de :

  • la prise en charge de dépenses personnelles
  • l’appropriation de biens sociaux (prendre des fonds dans la caisse).

E.Joly et C. Joly-Baumgartner, l’abus des biens sociaux à l’usage de la pratique, Economica (2002)

Est ce que les 72 virements internationaux envoyés par CONNECTIC à EMERGENT ont-ils une contrepartie ?

 

 

 

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

RANARISON Tsilavo CEO de NEXTHOPE a envoyé les 76 virements internationaux de CONNECTIC à EMERGENT que RANARISON Tsilavo a lui même TOUS Signé

De 2009 à 2012, les 76 ordres de virements internationaux d’un  montant global de 3.663.933.565,19 ariary, tous signés par RANARISON Tsilavo ancien directeur exécutif de CONNECTIC, CEO de NEXTHOPE, ont été envoyés de la société CONNECTIC à la société EMERGENT.

Donc c’est RANARISON Tsilavo lui même directeur exécutif de CONNECTIC qui a signé pendant une période quatre années,   76 ordres de virements internationaux  de CONNECTIC à EMERGENT en France qui ose dire dans sa plainte avec demande d’arrestation du 20 juillet 2015 qu’il n’est pas au courant des virements internationaux envoyés par CONNECTIC à EMERGENT

Les attestations des banques malgaches disant que RANARISON Tsilavo est le seul signataire des comptes bancaires de CONNECTIC

Car RANARISON Tsilavo est le seul (et donc l’unique) signataire des comptes bancaires de la société CONNECTIC pendant cette période.

RANARISON Tsilavo reçoit chaque soir le journal de banque et de caisse de la société CONNECTIC

Pour se dédouaner et nier l’évidence, RANARISON Tsilavo affirme devant la chaîne pénale qu’on l’a forcé à signer des ordres de virement à blanc comme l’a exigé Solo. Et qu’il n’a découvert les virements sans contrepartie qu’en 2012, lorsque ses amis ont fait une grève sans préavis dans la société CONNECTIC. Les amis grévistes qui se retrouvent dans un premier temps dans la société DATALINK (qui est pris en pleine intrusion chez CONNECTIC) , puis dans la société NEXTHOPE Madagascar.

La société CONNECTIC a mis en place un intranet, un intranet ERP ODOO, et RANARISON Tsilavo a accès à toutes les données de l’entreprise ainsi que comme le veut la règle chez CONNECTIC, tous les salariés font un rapport quotidien à Solo et à RANARISON Tsilavo, CEO de NEXTHOPE Madagascar.

Le 29 mai 2012, RANARISON Tsilavo liste des états générés par l’intranet qu’il ne reçoit plus depuis le 8 mai 2012. Parmi ceux-ci, le journal de banque et de caisse, rapport journalier et intervention ainsi que le budget de trésorerie.

Donc RANARISON Tsilavo ne peut pas ne pas être au courant des 72 ordres de virements envoyés par CONNECTIC à la société EMERGENT car non seulement, il a signé les 72 ordres de virements internationaux mais il reçoit à chaque fin de journée des états générés par l’intranet faisant mention des virements.

Le détail du journal des banques généré par l’intranet de CONNECTIC

Le 20 décembre 2011, l’intranet de CONNECTIC a par exemple généré le journal des banques suivant dont le CEO de NEXTHOPE Madagascar est parmi le destinataire. Un virement de USD 15.061 a été envoyé ce jour par CONNECTIC à EMERGENT.

Les ordre de virements internationaux ont été signés déjà remplis des mentions obligatoires par RANARISON Tsilavo CEO de NEXTHOPE

D’ailleurs le Responsable administratif et financier ainsi que le Trésorier confirme que les ordres virements internationaux n’ont pas été signés à blanc.

C’est consigné dans une sommation interpelative datant du 13 novembre 2015 qui a été transmise à la chaîne pénale les propos qui disent que RANARISON Tsilavo signe des ordres de virement remplis.

RANARISON Tsilavo dit au juge d’instruction que ce sont les salariés qui lui ont fait part des virements internationaux envoyés à EMERGENT

Il n’a donc découvert qu’en 2012, selon ses dires, les virements internationaux qu’il  a signé lui même.

RANARISON Tsilavo affirme devant le juge d’instruction qu’on peut modifier un email hébergé sur gmail

 

 

 

 

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

La conversion en Ariary des montant en devises citées dans le dossier d’abus des bien sociaux de RANARISON Tsilavo contre Solo

Dans ce dossier d’abus de biens sociaux, RANARISON Tsilavo avance dans sa plainte du 20 juillet 2015 que Solo a envoyé des virements internationaux pour 3.663.933.565,79 Ariary  et d’après l’émail du 24 avril 2012, RANARISON Tsilavo reconnaît avoir réceptionné $480.488 et 958.941 euros d’équipements envoyés par Solo à Madagascar.

Trois devises  – Ariary, euros et USD – entrent en jeu et on ne peut plus comparer les flux monétaires qui sont en différentes devises.

Dans son référé pour diffamation déposée au Tribunal de Grande Instance d’Evry, le montant des factures sans contrepartie qui s’élève à 3.663.933.565,79 Ariary est l’équivalent de 1.047.060 euros d’après RANARISON Tsilavo, le plaignant

 

RANARISON Tsilavo reconnaît lui-même dans un e-mail du 25 avril 2012 que Solo (EMERGENT NETWORK) a envoyé à Madagascar chez CONNECTIC pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels

La première supposée fausse facture d’IOS (licence ou logiciel CISCO) est établie par RANARISON Tsilavo

RANARISON Tsilavo directeur exécutif de  la société CONNECTIC jusqu’au mois de septembre 2012 s’occupe de la gestion globale de la société CONNECTIC à Madagascar puisque son associé et également patron, Solo, ne passe à Madagascar qu’une semaine environ toutes les six semaines. Toutes les communications dans l’entreprise CONNECTIC se font par messagerie gmail et par intranet : on a les traces écrites de tout ce qui est avancé.tsilavo-a-etabli-la-premiere-facture-ios-dens Continuer la lecture de « La première supposée fausse facture d’IOS (licence ou logiciel CISCO) est établie par RANARISON Tsilavo »